Celebrity Equinox - Transatlantique

[valpi]

21 pages Marie-claude , 21 !!! et ce , sans compter le comte-rendu de Barcelone que vous venez d'écrire a l'instant.

Je vous lis comme je lis un livre , et j'avoue que j'adore ça. Je fait copier/coller , et j'imprime le tout , puis je m'installe dans mon "lasy-boy" et je m'abreuve de vos belles phrases dans le comfort total de mon salon.

Le monde est grand! Nous sommes allez en escales aux mêmes endroits que vous , sans pour autant voir les mêmes choses. Ce qui fait que maintenant , je veux retourner !

Gros Merci.

[Marie-Claude]

Et ça continue...

Cartagena – jeudi le 4 novembre – soleil – 25 C

De notre table de petit déjeuner au Blu, on peut apercevoir la côte montagneuse qui se dessine de mieux en mieux au fur et à mesure qu’on s’en approche. Cartagène est au fond d’une petite baie qui est complètement entourée de montagnes – on comprend bien pourquoi elle fut utilisée comme forteresse et point de défense par bien des peuples et on peut aussi imaginer que les navires qui y arrivaient avaient la même vue que celles que nous avons ce matin. Fondé par en 227 avJC par un général de l’empire de Carthage, elle fut rebaptisé Carthago Nova (nouvelle Carthage) par les romains qui l’ont conquis une vingtaine d’année plus tard. C’était à cette époque un des ports les plus riches du monde.

Après le règne romain, Cartagène sera sous l’emprise successive des Vandals, des Wisigoths, des Byzantins, et bien d’autre avant la conquête des Aragons en 1245. Aujourd’hui, et depuis le 14e siècle, elle sert de port d’attache à la marine espagnole. Mais c’est sa situation sur la Costa del Sol qui attire les touristes dans cette petite ville magnifique.

À notre arrivée, nous apercevons le Queen Elizabeth de la compagnie Cunard. Il est accosté au pied de la muraille qui borde la mer… le bon spot! On sait alors que l’Équinox sera relégué au port cargo, un peu plus loin mais quand même dans la petite baie. De ce fait, les autorités portuaires ont mis à notre disposition des autobus qui feront la navette du bateau au centre-ville! Génial! Le seul hic, c’est qu’il n’y a que 10 bus, et on est plus de 3000 à descendre… il se forme donc une bonne file sur le quai, mais finalement, on n’attend que 15 minutes et comme le soleil est radieux, on ne s’en plaint pas trop!

La promenade du port est bordée d’un côté de la grande muraille forteresse d’un côté et de rangée de palmier de l’autre. Les douves de la forteresse ont été rempliée de petit cailloux, et les gens de la place s’y promènent en joggant ou en marchant leur chien. La Calle Major, la rue principale, est piétonne, et accueille la foule de croisiéristes en manquent sévère de shopping. Les magasins sont bondés et on a du mal à circuler. On décide donc de ne pas trop s’attarder et de continuer notre marche. Mais en levant les yeux, en haut des magasins, on découvre des maisons aux couleurs pastel, avec des balconnets de fer forgé, des persiennes de bois, des tuiles colorées… une architecture flamboyante, typiquement espagnole. C’est de toute beauté. En passant les portes grillagées des maisons, on peut voir leurs cours intérieures si typiques, avec des sols recouverts de tuiles, des palmiers en pots de céramique, des mezzanines de fer forgé ou de bois travaillé, c’est superbe! On se perd un peu dans le dédale des rues de la vieille ville en imaginant les navigateurs de l’ère des conquêtes rentrer au bercail les bras chargés d’or et d’argent, et leurs belles les attendant au balcon!

Nous lunchons sur la Calle Major dans un ancien casino, devenu un club privé. Le bâtiment est sublime et les membres peuvent jouir de différentes venues culturelles. Le café où nous lunchons a une belle terrasse sur la rue, ce qui nous permet de faire un peu de ‘people-watching’! Nous prenons le menu tapas : croquettes de jamon (jambon), patatas aïoli, salade de poissons, croûte à l’anchois, bocadillos au veau et mousse au chocolat pour terminer le tout! Pour 10 euros, on ne peut demander mieux.
Plusieurs des boutiques ont fermé leurs portes pour la siesta d’après-midi. Nous avons donc décidé d’aller visiter le musée du théâtre romain. Un petit musée qui présente les divers objets trouvés durant les fouilles récentes du théâtre romain de la ville. Puis, un couloir sous-terrain qui passe sous l’ancienne église Santa Maria nous amène jusqu’au théâtre. C’est assez impressionnant de voir que cet amphithéâtre est en plein cœur d’un quartier populaire – certains des murs sont côte à côte avec des appartements habités. On pouvait voir le linge sécher au fenêtres juste à côté d’une colonne du 2e s avJC!!

Somme toute, une escale surprenante. Carthagène est une belle petite ville de la Costa del Sol, parfait pour une escale de quelques heures, pour nous donner un peu de la saveur espagnole!

Pour les photos de Cartagena:
http://picasaweb.google.com/mcdessureau ... agena_2010#

[Marie-Claude]

Cadix – vendredi le 5 novembre – soleil – 25 C

Fidèles à nos bonnes habitudes, nous nous retrouvons pour le petit-déjeuner au Blu, à notre table près de la fenêtre. La ville semble assez étendue et déjà trois navires sont accostés au quai : le Aida Cara, le MSC Melody et le MSC Lirica. L’Equinox est donc relégué au dernier ber… il faudra marcher un peu plus pour se rendre en ville. On peut facilement distinguer la forme péninsulaire de la ville car on peut voir la mer de l’autre côté!

Un peu d’histoire :
En fait, Cadix ou Cádiz en espagnol, est la capitale de la province de Cadix qui appartient à la communauté autonome d’Andalousie. C’est une cité tri-millénaire, qu’on dit la plus vieille d’Europe et la capitale du Flamenco. Cadix est resté dans l'histoire comme le port espagnol de la conquête des Amériques. Cadix est bâtie sur un rocher relié au continent par une chaussée étroite et au bord d'une baie sur l'Atlantique. La ville compte environ 150 000 habitants. C'est un port de pêche, de voyageurs et possédant des fortifications militaires. C'est de là que partent les navires qui naviguent vers les îles Canaries, l’Afrique et l’Amérique du Sud. Cadix est l'une des plus anciennes villes d'Europe, fondée sous le nom de Gadir en 1104 avJC par les Phéniciens (le Liban et la Syrie d’aujourd’hui). De 700-600 avJC, la ville était un riche marché où l'on trouvait de l'ambre et de l’étain. Après une conquête par les carthaginois, Cadix se rallia aux Romains en 205 avJC durant la deuxième guerre punique, ce qui lui valut un traitement de faveur de la part de la République romaine. Jules César accorda à ses habitants la citoyenneté romaine en 49 avJC. La ville fut détruite par les Wisigoths au 5e siècle. En 711, elle fut prise par les Maures qui la reconstruisirent. En 858 elle est pillée par le chef Viking Hasting. Puis Alphonse X, roi de Castille et e Léon reprend la ville en 1262. Après la traversée transatlantique de Christophe Colomb en 1492, les navires espagnols qui rapportaient les trésors des Amériques utilisèrent Cadix comme port de rattachement et la ville devint une des plus riches villes d'Europe. Quand les autres puissances maritimes d'Europe commencèrent à menacer la suprématie navale de l'Espagne, Cadix fit face à de nombreuses batailles. Une flotte anglaise dirigée par sir Francis Drake attaqua le port en 1587 en détruisant de nombreux vaisseaux. Au cours du siècle suivant, Cadix fut attaquée par les Anglais à trois reprises. Pendant les guerres napoléoniennes, Cadix fut assiégée par la flotte française. Quand l'Espagne perdit ses colonies en Amérique, au 19e siècle, la richesse de la ville commença à décliner. Pendant la guerre d’Espagne, Cadix fut une base des forces nationalistes du général Franco.

Aujourd’hui, Cadix demeure une ville portuaire réputée tant pour la pêche que son chantier naval. L'Université de Cadix est ainsi spécialisée dans les sciences de la mer et la construction navale. Mais c’est avant tout pour le climat d’Andalousie et ses plages longues de plusieurs kilomètres que les touristes recherchent Cadix

Bien que nous soyons accosté, la sortie est un peu chaotique ce matin. On nous a dit qu’à cause des marées, une seule passerelle serait installée et au 4e pont, ce qui fait que la descente sera très à pic. Évidemment, chaque personne met beaucoup de temps à descendre et en moins de deux, une file immense se crée de chaque côté de l’atrium sur pratiquement toute la longueur du bateau… inutile de se presser, on s’installe à la bibliothèque pour faire mots croisés et sudokus, le temps que cette horde disparaisse… je me rappelle maintenant pourquoi on aime tant les petits navires… Peu après 11h00, ils finissent pas ouvrir deux autres passerelles au pont 2, et finalement la file se résorbe et on peut sortir. Rappelez-vous qu’on est loin… alors sur le quai, ça chiale! La marche pour sortir du terminal est assez longue et ensuite, il faut refaire un bon 15-20 minutes pour se rendre en ville. Pour la plupart des gens, ça va, mais pour les personnes plus âgées, ça semble une montagne. Mais on nous dit que le port n’autorise pas les taxis à se rendre jusqu’ici blah blah blah… pas vrai car les taxis viendront reconduire les gens jusqu’au bateau. Mais bon, ça, on ne le savait pas! On marche donc jusqu’au terminal et question de garder les énergies de Mariette pour les bonnes choses, on prend un taxi jusqu’au centre de la ville à la Plaça Juan de Dios. 5 minutes, 7 euros! Plusieurs tours étaient offerts en taxi, pour Séville ou Jerez de la Frontera. Un tour de Cadiz était 40 euros, et pour la journée à Séville 250 euros (par taxi).

De la place, nous avons empruntés les petites rues piétonnières pour faire un peu de shopping et voir la vie dans la vieille ville. Tout comme à Carthagène, les rues sont étroites, les maisons sont toutes collées les unes aux autres, avec de jolis balconnets de fer forgé ou de bois sculpté. Au gré de nos déambulations, nous avons vu de belles églises, rappelant l’influence encore très présente du catholicisme. Puis nous sommes littéralement tombés sur la Cathédrale, en tournant un coin au hasard! Wow! Elle est immense. Son dôme en tuiles de couleur doré luit au soleil; cette couleur étincelante permettait aux pêcheurs et aux navigateurs de la voir de très loin. Nous nous sommes installés dans un café sur la place et avons lunché, à l’ombre de la Cathédrale, en regardant les hordes de touristes et les gens de la place et en écoutant la guitare espagnole de quelques musiciens de la rue.

À l’heure de la siesta, nous somme embarqués dans le bus Hop On Hop Off (15 euros par personne) pour faire le tour de la ville. Comme la vieille ville est composée de petites ruelles étroites, le bus fait plutôt le tour de la péninsule. Mais le commentaire nous permet de mieux apprécier le passé chargé d’histoire de cette ville. Le bord de mer est bordé, d’un côté de la péninsule, par une série de parc grandiose, rempli d’arbres taillés, de palmiers, avec de magnifiques sols recouverts de tuiles, de lampadaires en fer forgé, et de l’autre, par une plage longue de plusieurs kilomètres. Une promenade longe la plage, et hôtels et restaurants chics s’entassent pour répondre aux besoins des touristes les plus capricieux. La muraille de la ville est encore bien présente, et les grandes portes entourant la vieille ville lui donne un air royal. Notre tour prend fin au terminal de croisière où nous retrouvons l’Equinox et les trois autres navires.

Après un petit ravitaillement, je décide de retourner en ville, question de faire quelques emplettes de dernière minute! J’explore un autre quartier, celui de la Place d’Espagne. Puis, je vois des femmes les bras chargés de sacs, je leur demande donc où elles ont fait leur shopping : La Calle Columela, qu’elles me répondent plein d’enthousiasme! La Calle Columela… no siesta!!! Ah… des magasins ouverts en plein après-midi! Voilà qui fait le bonheur de bien des senoras!! En effet, la rue est bondée! Je n’arrive pas à dépenser mes dineros, mais je trouve bien une carte postale pour mes petites nièces! Avec de belles danseuses de Flamenco… robe à frisons, succès garanti!! Je découvre la place aux fleurs et en profite pour prendre un bon chocolat chaud avant de rentrer au bateau juste à temps pour le spectacle de Flamenco.

Une troupe locale a été invitée pour nous faire un spectacle de flamenco. Trois danseuses, un chanteur et un guitariste nous ont fait savourer les rythmes d’Andalousie – c’était super! Mais il manquait un peu de l’ambiance noir, sombre et suave qu’on retrouve dans les bars de flamenco.

Pour les photos de Cadix:
http://picasaweb.google.com/mcdessureault/Cadiz_2010#

[Marie-Claude]

Tenerife, Îles Canaries – le 7 novembre 2010 – soleil, 25C

Après avoir assisté à la conférence sur Tenerife, nous avions convenu qu’il serait probablement mieux de prendre une excursion car la ville semble vaste et que de partir à pied pour l’explorer serait peut-être trop fatiguant. Plusieurs excursions se rendaient au Mont Teide, le plus haut sommet des îles Canaries et un volcan, mais comme Mariette y était déjà allé, nous avons opté pour une excursion qui proposait de voir le côté culturel de Tenerife soit une visite à la capitale culturelle de l’île, La Laguna, et la visite du musée de l’homme et de la nature.

Dès 7h00, nous commençons à voir les côtes escarpées de Santa Cruz de Tenerife. C’est curieux mais les escarpements rappellent des fjords… mais on reconnaît bientôt la forme volcanique des montagnes, comme celles qu’on voit à Hawaii. Le paysage est en fait un curieux hybride entre les fjords de Norvège et les collines hawaïennes!! Nous prenons le petit-déjeuner sur le balcon pour profiter de ce matin ensoleillé, tout en se préparant pour rejoindre notre groupe d’excursion.

Rendez-vous au théâtre qui était plein! Heureusement, on appelle notre numéro presque tout de suite. Après avoir descendu les deux ponts à pied, on sort du bateau et longeons le quai sur plusieurs mètres avant de rejoindre notre autobus. Ça commence à 1, et nous on a 34… je pense qu’ils sauteront des numéros mais non! Il y avait au moins une cinquantaine d’autobus une à la suite des autres… bon, pour moi ça va, mais pour plusieurs personnes d’un certain âge ou faisant de l’embonpoint, cette marche les a complètement crevés! J’ai franchement eu peur que certains n’en reviennent pas… ça soufflait, puffait, sacrait… Arrivés au bus, on a du attendre plus de 30 minutes avant de partir. En fait, bien que nous ayons été appelés les premiers, nous avons été l’avant-dernier bus à partir. … Enfin, on quitte l’interminable quai, direction La Laguna, capitale culturelle et ecclésiastique de l’île. Les distances sont assez courtes et nous arrivons à destination en 15 minutes. Toutefois, nous sommes dans une région montagneuse, la plus froide de l’île… il fait 23C!!! Mais les habitants sont habillés comme nous en automne avec des pulls, des vestes de cuirs, des bottes. On reconnaît facilement les ‘amaricains’ avec leur shorts, t-shirts et casquette de baseball! Le bus nous laisse à un square, et notre guide nous indique que nous visiterons la ville à pied… mais, ce n’est pas un tour à pied que nous avons pris? Ah mais c’est ainsi… alors plusieurs dames à mobilité restreinte décident de rester à bord du bus… elles y seront pour 1.5 heures… Nous partons visiter le San Francisco Real Santuario del Santisimo Cristo de La Laguna reconnu pour son retable et son Christ en argent massif, de l’argent rapporté du Mexique par les explorateurs du 16e siècle.

Puis on nous laisse un peu de temps pour aller voir le marché public. On y voit, comme dans tous les marchés, des étals de légumes, de viandes etc. Toutefois, on peut aussi y voir un marchand d’oiseaux et nous pourrons enfin dire que nous avons vu des canaries aux Canaries!!! Notre guide nous apprend aussi que les Canaries ont un terroir où croit environ 46 variétés de patates uniques au monde. En fait, ces patates ont été rapportées des Andes, et grâce au sol volcanique de ces îles, se sont transformées en variétés qu’on ne retrouve nul part ailleurs. La plus fameuse est la papas negras, noire à l’extérieur, et jaune à l’intérieur. On la sert lors de grandes occasions comme aux fêtes de Noël. Une autre bien aimé des gens du marché est la ‘yema’, une patate douce et sucrée qui peut produire des tubercules de 24 pouces! C’est intriguant de voir les étalages de petites patates toutes rondes, aux couleurs variées.

Nous poursuivons notre marche à travers les rues de la vieille ville, inscrite au patrimoine de l’UNESCO en 1999. San Cristóbal de la Laguna fut la première ville espagnole non-fortifiée, et son aménagement fut utilisé comme modèle pour plusieurs villes coloniales d’Amérique. Les petites maisons sont bien entretenues, avec des façades de stuc coloré et de jolis balcons de bois. Comme nous sommes dans la capitale religieuse des Canaries, on peut voir plusieurs couvents. Des miradors sont installés aux coins des murailles qui entourent les couvents afin de permettre aux religieuses cloîtrées de pouvoir tout de même jeter un coup d’œil sur les activités de la ville. Les rues recèlent aussi de magnifiques demeures coloniales ayant appartenues aux riches marchands, navigateurs et explorateurs. On peut voir les cours intérieures, ornées de fontaines, de palmiers, des petits oasis de calme et de verdure.

Après notre visite à pied, nous reprenons le bus pour retourner à Santa Cruz. Une fois de retour en ville, notre guide nous dit que la route pour se rendre au musée est fermée à cause d’un marathon. Après avoir tourné en rond plus d’une heure avec notre guide et chauffeur au téléphone, tentant frénétiquement de trouver une solution, ils nous laissent au port, nous disant qu’il faudra marcher 20 minutes pour se rendre au musée, puis revenir ici dans 45 miutes… Calculez comme vous voulez, mais ça ne nous laisse que 5 minutes au musée tout ça… Après avoir argumenté avec la guide et s’être fait dire qu’elle n’avait pas d’autres solutions et que si on n’était pas content on pouvait rentrer au bateau par la navette autobus tout près, c’est exactement ce que nous avons décidé de faire… c’est dommage, mais je ne nous voyais pas faire toute cette route à la course, arriver au musée à bout de souffle… non. Nous sommes donc rentrées au navire, un peu navrée que notre journée aux Canaries ait été teintée par cette excursion plutôt ratée.

Mais j’ai vu juste assez des Canaries pour me convaincre qu’il faut que j’y retourne. Le climat est fantastique, beau soleil, chaud mais pas trop, peu d’humidité. De plus, le paysage est superbe et les récits de ceux qui sont allés voir le mont Teide m’ont convaincu que ça serait mon excursion lors d’un futur passage.

Le départ fut assez spectaculaire. Nous avons rebroussé chemin pour contourner l’île par le Nord. Nous avons donc eu droit à un coucher de soleil sur l’île de Tenerife. De toute beauté. Comme nous n’allions pas voir de terre pour plusieurs jours, nous avons profité de cette vue magnifique jusqu’à ce que la noirceur nous force à rentrer…

Pour les photos de Tenerife:
http://picasaweb.google.com/mcdessureau ... aries_2010#

[Marie-Claude]

Et pour terminer, voici les

Photos du navire et de nos journées en mer:

http://picasaweb.google.com/mcdessureau ... ansat_2010#

[holacanada]

Bonjour Marie-Claude !

Je te félicite pour ton excellent compte-rendu croisière. Tout comme plusieurs sur ce forum j'ai pris beaucoup d'intérêt et de plaisir à te lire. Tu devrais aller donner des mini-conférences en géographie au secondaire. Ce serait sûrement plus vivant et pertinent que d'en apprendre au sujet du plateau Laurentien ou sur l'ancien trou de météore dans Charlevoix. Merci beaucoup et salutations à ta co-équipière de toujours qui est très photogénique sur le balcon au déjeuner !!! Je remarque sur cette photo qu'il y en a une des deux qui ne met pas de lait/crème dans son café !!!!!!!

Salutations et bon retour !

Holacanada sera sur le Volendam dans 135 jours, 3 heures, 58 minutes et 55 secondes

[Marie-Claude]

Salut Françcois!!
Merci pour les bons mots!!
Tu as tout un sens de l'observation... Pour le café... c'est déformation professionnelle! Je suis goûteuse de café, et jamais, au grand jamais, on ne met sucre ou lait dans le café!!! J'avoue que je n'ai aucun mérite car je n'aime pas le lait, et je n'ai pas la dent trop sucrée!

D'ailleurs, c'est en goûtant au café noir qu'on peut distinguer toute les saveurs apportées par le terroir et la torréfaction!!

A+
MC

[Benoit]

Bonjour Marie-Claude

Là encore tu nous en mais plein la vue. Tu sais nous faire rêver avec tes récits et photos. Cela nous donne le goût d'aller voir ces coins sur cette terre merveilleuse.

Seulement Canne que j'ai visité en 1984 le coin des parfumeries et la plage.

Merci de nous faire partager tes souvenirs de voyages.
Liliane

[Marine]

Bonsoir Marie-Claude,

Ton compte-rendu est vraiment intéressant et tes photos sont tout simplement superbes. Une croisière en Méditerrannée est tellement remplie de beaux pays et de merveilleux paysages. Ton navire a vraiment de la classe. Je n'ai rien vu de Kitch. Tout est harmonieux et de bon goût. Merci de nous l'avoir fait visiter.

C'est toujours un plaisir de te lire.

Marine

[Francine Hamel]

Bonjour Marie-Claude

Je vais imprimer le tout...et chanceuse que je suis, je pourrai te poser des questions en direct en décembre sur l'Emerald...

J'ai lu vitement en diagonale et cela me donne le goût de refaire une transat.

Je me demande comment tu trouves le temps pour nous donner un compte-rendu si détaillé....

Entre deux tasse de Van Houtte (moka crème), je vais annoter le tout avec mes questions... et une journée en mer de décembre, on pourrait regarder ça ensemble....

Tu es toujours aussi généreuse ...c'est grandement apprécié...de te lire...

Au très grand plaisir
Francine

[dangae]

Quel belles photos Marie-claude et surtout très intéressant votre récit.

Merci
Danielle